Source: Amnesty
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Un projet de loi anti-terrorisme menace l’exercice des libertés à l’approche des élections
- Par Administrateur ANG
- Le 24/04/2019
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Les autorités guinéennes doivent s’abstenir d’adopter une nouvelle loi restreignant la liberté d’expression et prolongeant jusqu’à 30 jours les délais de garde à vue, a déclaré Amnesty International aujourd’hui.Ce 24 avril, le parlement doit examiner le projet de loi portant prévention et répression du terrorisme, qui comporte plusieurs dispositions qui menacent l’exercice des droits humains.
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«Comment j'ai rassemblé des gens et demandé à la Guinée d'abolir la peine de mort»
- Par Administrateur ANG
- Le 13/04/2018
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Souleymane Sow, 43 ans, est un homme investi d'une mission. Il fait du bénévolat au sein d'Amnesty International depuis qu'il est étudiant. Comme il avait la volonté de faire bouger les choses, il est retourné en Guinée, où il a créé un groupe local de bénévoles d'Amnesty International, et ils se sont mis au travail. Leur objectif ? Promouvoir l'importance des droits humains, faire de l'éducation aux droits humains et œuvrer pour l'abolition de la peine de mort. En collaboration avec 34 autres ONG, ils ont atteint leur objectif
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Guinée. La liberté de réunion pacifique doit être respectée durant la période électorale
- Par Administrateur ANG
- Le 11/09/2015
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La Guinée doit pleinement respecter le droit à la liberté de réunion pacifique et veiller à ce qu'une force excessive ne soit pas utilisée contre les manifestants et les autres citoyens durant la période électorale et par la suite, a déclaré Amnesty International alors que débute vendredi 11 septembre la campagne électorale.
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Guinée. Il faut renforcer la liberté de réunion et d’expression afin de prévenir les violences électorales
- Par Administrateur ANG
- Le 05/06/2015
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Quatre mois avant les élections nationales en Guinée, le président Alpha Condé doit agir en vue de renforcer un nouveau projet de loi qui pourrait contribuer à mettre un terme aux manifestations de violence récurrentes dans le pays et de rejeter un autre projet susceptible de criminaliser la dissidence, a déclaré Amnesty International jeudi 4 juin 2015.